Aides incitatives à l’embauche des jeunes :
Une aide financière sera accordée aux entreprises embauchant un jeune âgé entre 18 et 25 ans pour un contrat d’une durée minimale de trois mois.
Il s’agit d’une compensation de cotisations sociales de 4 000 € maximum, soit 1 000 € par trimestre pendant un an.
Cette aide est ouverte jusqu’à deux Smic, et concernera les embauches de jeunes conclues entre août 2020 et janvier 2021.
Le governement annonce également le versement d’une prime supplémentaire de 4 000 € pour 1 000 jeunes recrutés dans des TPE et PME sur
des métiers centrés « autour de la transformation écologique des modèles économiques » et « vers la transmission des savoirs du numérique ».
Investir sur la formation professionnelle :
Avec le plan d’investissement des compétences (PIC), il s’agit de proposer aux jeunes sans qualification ou en échec dans le supérieur 100 000
formations qualifiantes ou préqualifiantes tournées vers les secteurs d’avenir : les métiers de la transition écologique, du numérique
(5 000 formations certifiantes au numérique souhaitées en 2020 et 10 000 en 2021), du soin et de la santé (plus de 6 000 infirmiers
et 10 000 aides-soignants formés en 2021), et les secteurs prioritaires du plan de relance, fortement impactés par la crise
(tourisme, industrie, agriculture et agro-alimentaire, etc.).
Pour ce faire, fin 2020, « chaque jeune de moins de 25 ans sans qualification pourra accéder via « Moncompteformation » à une offre de formation
qualifiante ou préparant à la qualification adaptée à ses besoins, intégralement financée par le service public ».
En parallèle, le gouvernement a également annoncé la revalorisation de la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle à
hauteur de 200 € par mois pour les 16-18 ans et 500 € pour les 19-25 ans.
Un accompagnement accru vers l’emploi :